Les culottes menstruelles œuvrent pour la santé des femmes

Jolies, confortables et surtout efficaces, les culottes menstruelles sont une petite révolution du quotidien pour les femmes.

Introduction

Les culottes menstruelles sont incroyablement efficaces. Certains modèles pour flux abondant, comme ceux de la jolie marque de culottes de règles de Réjeanne, ont la même capacité d’absorption que 3 ou 4 tampons.

Ces culottes permettent d’éviter les fuites sans pour autant devoir changer de protection toute la journée. La sérénité n’a pas de prix, mais il reste inférieur à celui de la santé. Or, les culottes pour les règles disposent de nombreux atouts pour préserver la santé des femmes.

Les culottes menstruelles participent au bien-être des femmes
Les culottes menstruelles participent au bien-être des femmes

Une alternative saine aux protections jetables

Les risques liés à la composition des serviettes hygiéniques et tampons

Les protections périodiques classiques ont une composition faisant intervenir des substances toxiques. De plus en plus d’études attestent que de nombreuses substances chimiques entrent dans la composition des serviettes hygiéniques :

  • du parfum,
  • du plastique,
  • des perturbateurs endocriniens, dont le rôle dans les maladies endocriniennes interroge,
  • des phtalates,
  • des pesticides, dont certains interdits en Europe : glyphosate,classé cancérogène probable par l’OMS, quintozène, lindane, hexachlorobenzène,
  • des dioxines et des furanes notamment générés par le blanchiment au chlore opéré pour le traitement de certaines matières premières.

Pourtant, à l’échelle européenne, les marques de protections conventionnelles n’ont pas l’obligation de révéler la liste complète de ces substances. Cet obscurantisme ne fait que renforcer l’insécurité qui pèse sur la santé des femmes en la matière.

Les risques liés à la composition des serviettes hygiéniques sont à tempérer dans la mesure où l’ANSES n’a pas conclu à un risque avéré pour la santé des femmes en raison du faible taux des substances contenues dans les protections jetables.

Chacun et chacune est, en revanche, maître quand il s’agit de juger ce qui est bon pour sa santé. Il est, en plus, à rappeler qu’en France, on estime que les femmes entre 13 et 50 ans utilisent, en moyenne, 290 protections pour une année, ce qui représente plus de 11 000 au cours de leur vie. La question de savoir quelle protection utiliser n’a donc rien d’anodine.

Les matières des culottes menstruelles

Nombreuses sont les marques de lingerie menstruelle qui prêtent une attention toute particulière à la composition de leurs sous-vêtements, comme c’est le cas des culottes pour les règles Réjeanne.

Les culottes Rejeanne : des sous-vêtements sains, confortables et jolis.

Les culottes Rejeanne : des sous-vêtements sains, confortables et jolis.

Néanmoins, la marque de culotte menstruelle française fait office de précurseur en la matière. Les fondatrices, Alexandra et Wye, ont fait le choix de valoriser le savoir-faire français en faisant confectionner ses collections par des couturières au sein d’ateliers situés en Bretagne et en région lyonnaise dans des matières telles que le coton biologique tissé en France ou de la dentelle française. Les matières utilisées sont toutes certifiées Oekotex 100 pour garantir aux femmes qu’elles ne mettront pas leur intimité en contact avec des substances nocives.

La marque s’engage également à ne proposer que des culottes de règles sans nanoparticules d’argent. C’est, en effet, une phase poussée de R&D qui a permis de concrétiser une technologie d’absorption anti-fuites pendant 12 heures, 100% efficace et 100% saine.

Prévenir le choc toxique avec les culottes menstruelles

Les culottes de règles sont des protections externes. À ce titre, elles ne font pas encourir le risque de développer un syndrome du choc toxique.

Ce syndrome staphylococcique est une maladie infectieuse aiguë grave liée aux règles. Il est favorisé par une mauvaise utilisation des dispositifs de protection internes pendant les menstruations que ce soit le tampon ou la cup menstruelle.

Ces derniers, si certaines règles strictes d’hygiène ne sont pas respectées, vont permettre la prolifération de bactéries au sein du vagin puisque ses dispositifs intravaginaux font stagner le sang créant un environnement propice aux staphylocoques dorés.

Ainsi, Une étude récemment conduite par des chercheurs du Centre international de recherche en infectiologie de Lyon et du Centre national de référence des staphylocoques a montré que le risque de syndrome de choc toxique est multiplié par deux si on ne change pas un tampon au minimum toutes les six heures, et par trois si le tampon n’est pas changé la nuit.